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Conclusion ...
Compression sans pertes
- algorithmes peu gourmands en mémoire et temps de calcul pour un résultat souvent modeste
- ils sont souvent génériques et exploitent peu les particularités du média
- utilisés qe si nécessaire (principalement pour des besoins de transfert de données binaires)
Compression avec pertes
- peu d'algorithmes à disposition
- la plupart utilisent un modèle psycho-visuel
- la qualité est difficile à évaluer et garantir
- encapsulation de JPEG (JNG) et PNG dans le format MNG : possibilité de combinaison des formats
par la méthode des 'sprites'
- une image binaire pour les formes (contours, information haute fréquence)
- une image pour le fond (basses fréquences)
- un masque binaire pour déterminer la combinaison des deux images
Exemple : séparation du contour de caractères et du fond (papier+encre) - les contraintes de débit d'internet favorisent le développement de méthodes d'encodage progressif (analyse en échelle, type ondelettes, ou entrelaçage)
- JPEG2 en cours de spécification ...